Voici un petit florilège de blagues racistes commises par les hommes politiques…
Hortefeux, Chirac, Macron, que ce soit en dérapage contrôlé ou pas, ils ont osé le dire!
Honneur à Emmanuel Macron, qui à peine monté sur le trône lâche à propos des Comoriens:
Le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien.
Quand il y en a un ça va…
La sortie de Brice Hortefeux il y a quelques années, à l’université d’été de l’UMP.
George Frêche est quand à lui le champion toutes catégories de la réflexion raciste. En voici quelques exemples:
Dans cette équipe (de football), il y a neuf Blacks sur onze. La normalité serait qu’il y en ait trois ou quatre. (…) S’il y en a autant, c’est parce que les Blancs sont nuls. (…) Bientôt, il y aura onze Blacks. Quand je vois certaines équipes de foot, ça me fait de la peine.
Alors qu’il inaugure la 1ère ligne de la ville, il sort à propos des maghrébins ces propos de très mauvais goût:
Ici, c’est le tunnel le plus long du monde: vous entrez en France et vous sortez à Ouarzazate.
En évoquant l’élection de Sarkozy, il sortira:
On avait jamais eu un président juif élu au suffrage universel. C’est un beau succès. Et en plus on a Kouchner en ministre des Affaires étrangères. Alors qu’est-ce que vous voulez de plus? Et je dis à mon ami Kouchner: quand est-ce que tu reconnais Jérusalem capitale d’Israël?
Allez, une petite dernière pour la route (bien cynique):
Là, les Catalans me font chier, mais je leur tape dessus parce qu’ils m’emmerdent, mais dans deux ans [pour les régionales], je vais me mettre à les aimer je vais y revenir je vais leur dire, mon Dieu, je me suis trompé, je vous demande pardon, ils diront: qu’il est intelligent, ils me pardonneront, ils en reprendront pour 6 ans.
Nous terminerons cet article avec le discours de Jacques Chirac sur « le bruit et l’odeur » devenu mythique…